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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 00:14

Un célèbre consultant en ressources humaines démarra un jour
un séminaire de gestion du temps avec quelques objets devant
lui. Quand les participants furent tous installés, il prit sans dire
un mot un grand bocal vide et le remplit à ras bord avec des
pierres d'environ 5 cm de diamètre.

Il demanda ensuite aux participants si le bocal était plein. Tout
le monde fut d'accord pour dire que c'était bien le cas.
Le consultant prit ensuite une boite pleine de petits cailloux et
les versa sur les pierres. En secouant le bocal, les cailloux remplirent
les vides entre les pierres. Il reposa la même question
aux participants. Ceux-ci rigolèrent, et dirent que cette fois le
bocal était vraiment plein.

Il prit alors une boite pleine de sable et la versa dans le bocal.
Bien sûr le sable s'infiltra et remplit tout l'espace disponible.
A ce moment-là, il procéda à un tour de table pour demander à
chacun des participants quelle était à ses yeux la véritable leçon
à tirer de cette expérience. La plupart d'entre eux étaient des
cadres de haut niveau appartenant à d'importantes entreprises
multinationales. Aussi se fendirent-ils tous assez logiquement
d'une belle tirade d'où il ressortait le plus souvent qu'en se pressant
soi-même suffisamment le citron, on pouvait remplir sa
journée avec beaucoup plus de choses qu'il n'y paraît au premier
abord...

Après avoir remercié tout le monde pour sa contribution, le
consultant reprit :
"Maintenant, je voudrais que vous vous imaginiez que ce bocal
représente votre vie.

Les pierres représentent les choses importantes:
votre partenaire, vos enfants, votre santé, votre activité
- les choses qui, si rien d'autre n'existait, feraient que votre
vie serait quand même remplie.

Les cailloux représentent les autres choses qui, sans être les plus
importantes, comptent tout de même dans votre échelle de valeurs,
telles votre emploi actuel, votre statut social, votre maison,
votre voiture.

Le sable, quant à lui, représente tout le reste, toutes les petites
choses sans importance.

Si vous commencez par remplir le bocal avec du sable, il n'y
aura plus de place pour rien d'autre. La même chose est valable
pour votre vie : si vous dépensez trop de temps et d'énergie sur
les petites choses, il n'y aura plus de place pour les choses importantes.

Demandez-vous d'abord ce qui compte vraiment
pour vous, puis efforcez-vous d'y porter la plus grande attention.
Ainsi, jouer avec vos enfants, prendre le temps de passer une
visite médicale annuelle, aller dîner au restaurant avec votre
partenaire peuvent représenter un bon début de programme de
gestion du temps. Ainsi, il vous en restera toujours assez (de
temps) pour gérer votre carrière, nettoyer la maison, donner
une soirée, ou vous amuser.
Occupez vous avant tout des choses qui comptent vraiment. Le
reste n'est que du sable."
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29 novembre 2009 7 29 /11 /novembre /2009 09:27

Inventé par le Mégarique Eubulide de Milet, ce sophisme est si connu qu'on l'appelle simplement le chauve.

On arrache un cheveu à la tête d'un homme. Celui-ci est-il devenu chauve? Bien sûr que non. Enhardi, on arrache donc un deuxième cheveu. Cela ne suffit pas davantage à rendre chauve le bonhomme. Puis un troisième cheveu est arraché, et ainsi de suite, dans une espèce de progression sauvage ignorant tout frein moral. A partir de quel moment peut-on dire que le type est devenu chauve? S'il faut attendre le dernier cheveu, alors personne n'est réellement chauve (il reste toujours quelque herbe folle sur la tête des plus systématiquement dégarnis). Mais, d'un autre côté, si l'on est chauve malgré quelques cheveux restants, quel est au juste le cheveu (son rang dans la série) qui permet d'établir la distinction entre le chauve et le chevelu? Si l'on dit par exemple qu'avec 25 cheveux on est chevelu, mais qu'avec 24 on est chauve, alors un seul cheveu (le 25ème d'après notre exemple) arraché suffirait à rendre chauve. Mais on entre alors dans une contradiction car, jusqu'à présent (c'est-à-dire lorsqu'on a entrepris ce travail assez fastidieux et passablement cruel d'arracher les cheveux), on avait reconnu qu'un seul cheveu ne changeait en rien l'état de la tête.

Le sophisme du chauve, qui semblera particulièrement tiré par les cheveux à plus d'un bénévole, met aussi en évidence la rupture et même l'étrangeté qui existent entre le vocabulaire de la quantité (un, deux, trois...) et celui de la qualité (grand, petit, chauve, pas chauve). Dans la vie quotidienne, nous désignons par des mots simples des évidences sensibles telles que : un tel est grand, celui-là est chauve. Nous serions évidemment bien en peine de fixer la limite exacte qui à nos yeux sépare le grand du petit et le chauve du pas chauve. Pourtant, cette limite doit bien exister.


Christian Godin
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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 20:04
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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 15:33

Manif de droite
envoyé par a360.
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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 20:45
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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 12:20

texte spécialement dédié à une suricate


La signification du mot « culture » doit d'abord être trouvée (tant bien que mal) avant d'aller plus loin. Premièrement, dans la question initiale, nous avons l'article indéfini « une » qui spécifie qu'il y a donc plusieurs cultures ou sortes de cultures. Ensuite, l'expression « valeurs universelles » s'oppose à « une culture » comme le général au particulier. Il y a ainsi des cultures et des valeurs universelles et celles-ci ne sont pas une et même chose. Inversement, les valeurs universelles ne peuvent pas ne pas venir des différentes cultures. Il y a donc un échange perpétuel entre les « cultures » et les « valeurs universelles » ces dernières n'étant que l'élévation au général des premières. Le danger immédiat est de considérer une culture particulière comme ayant une valeur universelle et ainsi essayer de l'imposer à ceux qui ne verraient pas la « vérité ». Il faut donc dépasser cette difficulté sans tomber dans un relativisme autant dangereux que faux.


La multiplicité des cultures est une évidence en soi. Si nous appelons culture les habitudes de pensée, de comportement, de vie d'une population donnée ainsi que l'état actuel de ses connaissances dans n'importe quel domaine, nous sommes forcés de reconnaître qu'il y a des centaines voire des milliers de cultures sur la Terre. Autant de cultures que de peuples ou ethnies. Il y a ensuite toutes ces cultures disparues ou en train d'apparaître. Les différences de forme et souvent même de fond ne peuvent être niées par celui qui cherche à comprendre. Que ressentir devant la multiplicité des cultures sinon un sentiment de relativisme? Ou, au contraire, un besoin de repli sur soi et de négation de la différence? La deuxième option a été, je crois, la plus prisée et elle l'est toujours. Devant la différence il y a souvent le déni de cette différence, ce déni conduisant souvent à la hiérarchisation. Confrontés à l'inconnu (et à l'incompris) la tendance est souvent au dénigrement. La peur et l'habitude sont deux des facteurs les plus importants de ce dénigrement. Elles ont la source dans l'ignorance. C'est ainsi que, convaincus de la supériorité de leur culture, les Européens ont colonisé le monde en essayant de « civiliser » les « sauvages ». Ce complexe de supériorité n'est par contre pas propre aux Européens. Disons que c'est presque un instinct de conservation. Devant la peur et l'incompréhension générées par la différence, le plus facile est de vouloir éradiquer celle-ci. La confusion faite entre « culture » et « humanité » est dès lors très grave car elle conduit à affirmer qu'il y aurait une culture proprement humaine, bonne, élevée, civilisée et une autre culture barbare, mauvaise, basse, inhumaine. Suit donc le désir d'améliorer cette dernière, et tous les moyens, même « barbares », sont bons car la fin justifie les moyens. Investis d'une mission civilisatrices, nous croyons pouvoir tout nous permettre. Combien de crimes au nom de la civilisation! Combien d'injustices au nom de l'honnêteté! Combien de violences au nom de la paix!

Derrière le désir de « civiliser » se cache souvent le plaisir de dominer. La seule vraie manière de démontrer, à supposer qu'on le puisse, la supériorité d'une idée ou d'un comportement est de les appliquer, donc de donner l'exemple. Il n'y a aucune raison, au fond, qui donnerait à une culture l'avantage sur une autre. Il n'y a pas de vérité, il n'y a que des interprétations. Rien ne dit qu'il est mieux et supérieur moralement parlant de porter un pantalon qu'un kilt, de découvrir ses cheveux plutôt que son dos, de croire en Dieu plutôt qu'en Allah, d'aimer Cezanne plutôt que Rembrandt, d'être lettré plutôt qu'analphabète, Français que Gabonais, homme que femme, hétérosexuel qu'homosexuel...Il y a des différences qui ne sont pas du ressort des hommes, personne ne choisit son lieu de naissance, ses goûts ou ses envies. De quel droit aller donc et dire que telle façon de vivre est mauvaise et essayer de la changer par la violence et l'intimidation? De quel droit s'immiscer dans les affaires internes d'un autre peuple? La simple utilisation de la force prouve que la vérité qu'on veut apporter n'est pas si évidente que cela. Et, si elle n'est pas évidente, c'est peut-être parce qu'elle n'est que culturelle, c'est à dire spécifique à un peuple donné.


Nous arrivons ainsi à affirmer le relativisme total des cultures. Aucune culture n'est supérieure à l'autre, aucune n'est meilleure ou pire, toutes sont égales quoique différentes, toutes ont leurs raisons d'être et leur intérêt, toutes doivent exister, coexister. Il y a certes des problèmes inhérents à chaque culture mais ce n'est pas la culture en elle même qui est problématique. Pourtant, il ne faut pas se tromper sur le relativisme et tomber dans l'acceptation de tout au nom du droit à la différence.


Comme dit plus haut, il y a des problèmes inhérents à une culture donnée, problèmes qui ont peut-être été résolus dans une autre culture. L'échange et l'interaction entre les cultures doivent non seulement être libres mais encouragés. Si différence ne rime pas avec hiérarchisation, elle ne doit pas non plus rimer avec indifférence. Le fait est que s'il est interdit et impossible de faire des hiérarchies entre les cultures, nous ne pouvons pas nous empêcher de voir qu'à l'intérieur d'une certaine culture des choses ne vont pas dans le « bon sens ». Nous critiquons souvent quelque chose au nom d'un idéal que nous croyons possible et meilleur. Et critiquer ne veut pas dire nier, mais ouvrir et partager. La critique se fait souvent avec le secours d'un idéal de vie que l'autre personne n'ignore pas totalement. L'exemple classique est celui de l'excision. Il ne faut pas critiquer cette pratique au nom des prétendues valeurs occidentales mais au nom des valeurs mêmes de la culture dans laquelle elle existe. Il y a, je crois, une base commune à toutes les cultures, aussi éloignées qu'elles soient dans l'espace et le temps. Aucune société, aucune culture ne peuvent survivre sans certaines règles de base, acceptées, en principe, par tous. Même les gangs ont des règles, et j'aurais tendance à dire surtout eux. Au delà de toutes les différences de surface, il y a un fond commun à toutes les cultures. Prenons l'exemple de l'inceste. Je crois que cette pratique est interdite dans toutes les cultures du monde, mais pas de la même façon. Pour certains il est incestueux de coucher avec son oncle, pour d'autres avec son père, pour d'autre que sais-je encore? Le meurtre doit aussi être interdit, sous certaines conditions, dans toutes les cultures. Toutes les cultures parlent de tolérance, d'amitié, d'amour, de respect, de justice, d'honnêteté et de leurs contraires. Certes, les définitions diffèrent d'une culture à l'autre voire même d'une personne à l'autre. Mais les mots ou les concepts sont imprégnés dans la conscience de tous.

Dire qu'une culture donnée est plus ouverte qu'une autre, n'est pas, en soi, ethnocentrique. Il ne s'agit pas de dire que telle chose est meilleure parce qu'elle vient de sa culture mais qu'elle est meilleure parce que si d'autres pouvaient la choisir, ils la choisiraient. La séparation de la religion et de l'État n'est pas bonne parce qu'elle a pris naissance dans la culture occidentale mais parce qu'elle permet l'expression de la différence, parce qu'elle ouvre à plus de tolérance et de compréhension, valeurs prônées par toute culture, mais appliquées seulement par certaines.


Les vraies valeurs ne peuvent être qu'universelles. Ce qui est culturel n'a qu'une valeur relative. L'universel dépasse toutes les cultures même s'il s'en nourrit. Avant d'être Français, Chinois ou Indiens, nous sommes tous Hommes et en tant qu'Hommes nous avons certains droits qui doivent être inaliénables, quelle que soit la culture dans laquelle le hasard nous a faits naître. Il est absolument injuste d'imposer à un être une culture qu'il n'a pas choisie. En tant que personne chacun a droit à mener sa vie en liberté et pour le meilleur. Les cultures qui empêchent le développement spirituel, physique et intellectuel des Hommes sont des cultures qui vont à l'encontre des intérêts fondamentaux de l'humanité, ce sont des cultures qui interprètent l'universel d'une manière intéressée (pour garder le pouvoir en place ou les richesses acquises par exemple) et qui s'opposent à l'instinct de liberté des hommes. Ces cultures qui prennent la forme de l'oppression doivent être combattues et modifiées, et cela au souhait même de ceux qui les subissent et non au nom d'un impérialisme quelconque.

L'universel existe mais il reste à trouver. Souvent, la multiplicité des cultures et leur influence sur notre psychique nous empêchent de le voir mais il est toujours là et nous devons inlassablement le chercher. La seule chance de bonheur sur Terre est la reconnaissance de l'universel alors que le combat pour la domination a toujours été notre malheur.


Certaines idées ou coutumes sont plus proches de l'universel que d'autres mais elles n'appartiennent pas à une culture donnée, elles appartiennent au patrimoine de l'humanité. En somme, aucune culture n'est supérieure à l'autre. Mais il y a certainement des idées et des comportements qui sont supérieurs à d'autres idées ou comportements. Tout ne se vaut pas. Tout n'a pas la même valeur. Si une culture peut atteindre des valeurs universelles, elle ne peut pas être elle-même une valeur universelle. Il ne faut en aucun cas essayer d'éradiquer les particularités culturelles qui ne portent aucune atteinte directe et intentionnelle aux droits fondamentaux des êtres sensibles. La différence est une richesse. Et reconnaître cette différence comme une richesse c'est le propre des valeurs universelles . L'universel est la reconnaissance, l'acceptation et l'encouragement du particulier tant que ce particulier ne porte pas atteinte à l'existence même de la particularité. Les différentes cultures ne sont que les branches, plus ou moins belles et saines, d'un même tronc qui est l'universel.

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 17:03

SOCRATE. — Athéniens, je vous honore et je vous aime, mais j'obéirai plutôt au dieu qu'à vous; et tant que je respirerai et que j'aurai un peu de force, je ne cesserai de m'appliquer à la philosophie, de vous donner des avertissements et des conseils, et de tenir à tous ceux que je rencontrerai mon langage ordinaire : «Ô mon ami ! comment, étant Athénien, de la plus grande ville et la plus renommée pour les lumières et la puissance, ne rougis-tu pas de ne penser qu'à amasser des richesses , à acquérir du crédit et des honneurs, sans t'occuper de la vérité et de la sagesse, de ton âme et de son perfectionnement ?» Et si quelqu'un de vous prétend le contraire, et me soutient qu'il s'en occupe, je ne l'en croirai point sur sa parole, je ne le quitterai point; mais je l'interrogerai, je l'examinerai, je le confondrai, et si je trouve qu'il ne soit pas vertueux, mais qu'il fasse semblant de l'être, je lui ferai honte de mettre si peu de prix aux choses les plus précieuses, et d'en mettre tant à celles qui n'en ont aucun. Voilà de quelle manière je parlerai à tous ceux que je rencontrerai, jeunes et vieux, concitoyens et étrangers, mais plutôt à vous, Athéniens, parce que vous me touchez de plus près; et sachez que c'est là ce que le dieu m'ordonne, et je suis persuadé qu'il ne peut y avoir rien de plus avantageux à la République que mon zèle à remplir l'ordre du dieu : car toute mon occupation est de vous persuader, jeunes et vieux, qu'avant le soin du corps et des richesses, avant tout autre soin, est celui de l'âme et de son perfectionnement. Je ne cesse de vous dire que ce n'est pas la richesse qui fait la vertu; mais, au contraire, que c'est la vertu qui fait la richesse, et que c'est de là que naissent tous les autres biens publics et particuliers. Si, en parlant ainsi, je corromps la jeunesse, il faut que ces maximes soient un poison; car si on prétend que je dis autre chose, on se trompe, ou l’on vous en impose. Ainsi donc, je n'ai qu'à vous dire : «Faites ce que demande Anytos, ou ne le faites pas; renvoyez-moi, ou ne me renvoyez pas, je ne ferai jamais autre chose, quand je devrais mourir mille fois...»

Apologie de Socrate, 29d-30c,

source link

 

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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 18:12
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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 20:00
"Tout ce que je sais de la morale c'est au football que je le dois." disait Camus, ancien gardien de but et philosophe, dans son temps libre

que dirait-il maintenant? que dirions-nous maintenant? qu'est devenu ce merveilleux sport qui élève l'âme?

comment est-ce possible? certes, des erreurs, des fautes, nous en faisons tous. mais filmés, vus par des millions de gens, tricher de cette manière est non seulement dangereux pour le football mais surtout pour la morale. quelle image donne-t-on aux hommes (et surtout aux millions d'enfants qui s'identifient à ces comédiens millionnaires) ? tricher, c'est bien tant que ça aide à gagner...qu'importe la manière, le plus important est le gain (d'argent, car s'il s'agissait de laisser le meilleur gagner le match...)! qu'importent l'honnêteté, la vérité, la justice? avec tant d'enjeux commerciaux (car ce n'est que cela et rien de plus) nous pouvons nous permettre de mentir quitte à perdre notre dignité! esclaves de l'argent et de la célébrité, où est votre fierté d'hommes? où est votre honneur? à combien l'avez-vous vendu? honte, honte, honte! non pas de tricher, mais de ne pas le reconnaître! non pas de gagner, mais de faire perdre les autres! non pas d'être hypocrites, mais de ne pas être courageux! non pas de vouloir l'argent, mais de le mettre au dessus de l'esprit même du sport, au dessus de la justice, au dessus de la solidarité, au dessus de la vérité!

comment oserez-vous regarder les Irlandais dans les yeux après ce complot tacite (ou pas) ? comment oserez-vous fêter une victoire acquise avec les armes de la lâcheté?

démission en masse! le peuple lui-même, s'il lui reste un peu dignité, doit vous dénoncer et boycotter vos matchs! pour voir du théâtre allons au théâtre pas sur un stade!

certes, Henry n'est ni le premier ni le dernier à faire cela. c'est d'autant plus grave! dans le football le mensonge et la tricherie sont institutionnalisées! on s'entraîne même à faire semblant! quelle éthique!

vous n'avez aucune excuse d'avoir rendu le football ignoble! il est devenu un commerce, comme tout le reste! plus d'esprit si ce n'est pécuniaire. votre dignité a un prix, et apparemment vous n'avez jamais assez d'argent pour les services inutiles que vous rendez au monde! il vous faut toujours plus, pendant que vos admirateurs meurent souvent de faim...

vous êtes une insulte pour le football, pour le public, pour la morale et pour vous-mêmes. avouez vos fautes, cela vous grandira. cachez-les, et vous resterez petits, invisibles derrières les montagnes d'argent sale que vous volez à ceux qui vous admirent à tort...


il vaut mieux mourir debout que vivre à genoux



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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 09:44
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